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mercredi 28 octobre 2015

Citations en vrac



  • Je sentais chez lui une profondeur qui me bouleversait, j'ai aussi appris avec lui le contrôle de soi-même : c’est-à-dire essayer de faire l'essentiel. La perfection, on le sait, n'existe pas. Mais lui, quand il joue, il en est très proche. Et quand on joue avec lui, il faut vraiment servir la musique et se libérer de son ego. Disons que sa virtuosité est plus magique que technique. (Le contrebassiste Riccardo del Fra à propos de Chet Baker)
  • La colère est une énergie. (Johnny Rotten)
          Toutes les citations de Rotten ici.

  • Le rock'n'roll c'est de la soupe. C'est quoi votre marque ? La mienne a tourné. Elle colle au fond du bol. (Patti Smith, Cream, 1975)
  • A l'époque de Horses, je me sentais investie d'une mission. Nous venions de perdre Jim Morrison, Janis Joplin, Jimi Hendrix, Dylan avait plus ou moins disparu, et le rock se fourvoyait, il devenait plus formaté, plus aseptisé. Je voulais ranimer la flamme. (Patti Smith, 2000)
  • J'avais choisi John Cale pour sa musique, mais je me suis trompée. Je cherchais un technicien et je suis tombée sur un maniaque. C'était une véritable saison en enfer pour tous les deux. Mais l'inspiration ne vient pas forcément quand on s'envoie un bouquet de roses, elle peut aussi naître de la rencontre du meurtrier et de sa victime... Il m'a rendu tellement folle que je me suis dépassée. Et que ça donné des choses que je n'aurais jamais imaginées, comme la version de neuf minutes de Birdland.  (Patti Smith, Rolling Stone)
  • Elle était captivée par la “performance”, elle s'essayait à tout. Au cabaret comme au théâtre d'avant-garde. Elle voulait intérioriser toutes les formes de diction pour les restituer à sa manière, les explorer jusqu'à la transe. Elle sentait que le mariage de la poésie et du rock le plus brut pouvait accoucher d'une énergie explosive. (Lenny Kaye à propos de Patti Smith)
          Toutes les citations de Patti Smith ici.


  • Je n’écoute pas tellement de disques. Je n’écoutais pas Charlie Parker. Mon deuxième mari, Gilbert Moses, aimait Eric Dolphy, Albert Ayler, Keith Jarrett, il me les a fait entendre. Ornette Coleman aussi, qui était vraiment étrange. Je n’étais pas free comme musicienne, bien je sois très ouverte. De Dolphy et Coltrane, c’est Coltrane que je préférais. Mais l’homme Ornette, sa manière d’être complètement dans son monde, m’impressionnaient. A présent, il faudrait que j’écoute les grands disques de Louis Armstrong. Je ne l’ai jamais entendu live, ses shows télévisés ne me plaisaient pas, il en faisait trop. Mais je sais l’importance décisive qu’il a eue comme musicien. (Dee Dee Bridgewater, Télérama, 2015)
  • Un très grand disque. Mon préféré de Jimi Hendrix, avec ce groupe de studio fantastique pour son dernier album. Rock ? Jazz ? Peu importe, il contient tout ce que j’attends de la musique. (Dee Dee Bridgewater à propos de l'album Electric Ladyland de Jimi Hendrix sorti en 1968, Télérama, 2015)
  • Cet album m’a littéralement explosé la tête. D’où venaient ces sons ? Comment Miles arrivait-il à susciter un intérêt passionné sur des morceaux aussi longs ? Ça reste un mystère à ce jour. (Dee Dee Bridgewater à propos de l'album Bitches Brew de Miles Davis sorti en 1969, Télérama, 2015)
  • Pour pénétrer dans mes chansons, il faut-être un peu mon complice. (Georges Brassens)
  • Il faut que mes chansons aient l’air d’être parlées, il faut que ceux qui m’entendent croient que je parle, croient que je ne sais pas chanter, que je fais des petites musiquettes comme ça … (Georges Brassens)
  • Lorsque les paroles sont mûres, je saisis ma guitare et je lis et récite mes vers et mes mots, en commençant à rythmer avec la guitare … C’est ainsi que tout doucement, je découvre les petites mélodies qui vont venir scander mes vers, y "coller" jusqu’à n’en plus pouvoir s’en séparer. Je fais sept ou huit musiques par chanson, je n’en fais pas qu’une. Et c’est celle qui tient le coup le plus longtemps que je garde, je veux dire celle qui, après avoir été répétée cent fois, me plaît encore ou me déplaît le moins. (Georges Brassens)
  • N’étant pas trop connard de nature, j’arrivais jeune à distinguer un bon texte. (Georges Brassens)
  • Ne jetez pas la pierre à la femme adultère, je suis derrière. (Georges Brassens)
         Toutes les citations de Georges Brassens ici.

  • La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent. (Pablo Casals)
  • Le reggae a beau être né en Jamaïque, il reviendra à sa source, en Afrique. (Bob Marley)
  • Le reggae n'est pas une musique de réjouissance, comme on dit chez nous. C'est une musique engagée, d'éducation, d'éveil des consciences. (Tiken Jah Fakoly, 2015)
  • Get up, stand up c'est l'hymne du tiers-monde, qui continuera d'être chanté par les générations suivantes. Il dit que personne ne viendra revendiquer nos droits à notre place. Dans ma carrière, j'ai très peu interprété les chansons des autres et jamais celles de Bob Marley. J'avais trop peur de le copier. Et sous la présidence d'Houphouët-Boigny (1960-1993), en Côte d'Ivoire, il était interdit de le chanter. (Tiken Jah Fakoly, 2015)
  • Slavery Days : Sur scène, Burning Spear pleurait pour évoquer les larmes des esclaves. Ça m'a bouleversé. (Tiken Jah Fakoly, 2015)




Je ne veux pas faire rire aux éclats, je veux faire sourire. Je suis un ennemi du "langage à signes" ; je préfère suggérer les choses que les dire. Si j’avais dû en dire plus, je l’aurais fait. Mais j’estime qu’il faut en dire peu et permettre à celui qui vous écoute de continuer à se faire sa fête tout seul. (Georges Brass

Citations de Louis Bertignac



  • Ce genre de bienséance et cette vérité qu’on ne peut plus dire dans plein de domaines, cela me gêne. (2014)
  • Il y a plein de domaines où il vaut mieux la fermer parce que c’est ce qui correspond le mieux à la pensée commune. (2014)
  • Je ne suis pas un bisounours. 
  • J’ai attendu 60 ans pour devenir un sex-symbol. (2015)
  • Mes filles sont allergiques à The Voice, elles me disent d'arrêter. 
  • Quand j'ai une guitare dans les mains, je me sens chez moi. (Rock Ur Life, 2014)
  • Tous les concerts sont différents, nous improvisons beaucoup. On écrit la moitié de l'histoire et on s'adapte. Si on racontait tous les soirs la même histoire, on se lasserait et les gens avec nous… 
  • Avec ma guitare, on fait un joli petit couple, on ne s'est jamais engueulés, elle n'est pas jalouse... (Rock Ur Life, 2014)
  • Bon, moi qui essuyais un nombre de râteaux invraisemblable, même avec des moches, je me suis dit "Qu'est-ce qu'elles foutent là ?", persuadé que ce n'était pas pour moi. En réalité, si. Une minute après, elles sonnaient à la porte : "On a trouvé ton adresse et on aimerait bien boire un coup avec toi". (à propos de sa rencontre avec Carla Bruni et une amie à elle à la sortie d'un concert de Téléphone)
  • Je remercie le gamin de 17 ans que j'ai été et qui a dit : j'arrête le reste, je veux faire de la musique. (Rock Ur Life, 2014)
  • On a direct été au magasin de musique qui était juste à côté du lycée. On a pris des guitares et pendant une heure, on s’est éclaté. On n’avait pas besoin de parler. Automatique, direct. Pas la même culture, mais justement : complémentaires. Puis le mec du magasin nous a gentiment virés, alors Jean-Louis m’a dit : ‘On va chez moi’. On s’est retrouvés à jouer dans sa piaule jusqu’à 2 heures du matin. (à propos de sa rencontre avec Jean-Louis Aubert)
  • - Que penses-tu du dernier concert des Stones ?- Je touve que c'est très cher... (2006)
  • Imagine pour un mec complexé comme moi : t'es dans un groupe de rock qui cartonne... Manque de pot, ta gonzesse est dedans. (à propos de Corine Marienneau)
  • Ma dernière cuite, c’était il y a longtemps. J’ai arrêté depuis. Ça devait être il y a dix ans à Moscou avec mon trio. Mais c’est fini, c’était affreux. J’ai joué à Indiana Jones, on prenait les vodkas par douze. Ça a été dramatique, j’ai honte. Je me souviens de rien mais ils me racontent, ce n’était pas brillant. 
  • Quand on est Français et qu'on est musicien, on n'a jamais entendu parler de vous ailleurs et on n'entendra jamais parler de vous. 
 

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