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dimanche 23 avril 2017

Citations musicales : Nouveautés du 24/04/2017


  • Dans la lutte entre toi et le monde, parie sur le monde (Frank Zappa).
  • L'art consiste à faire quelque chose de rien et ensuite le vendre (Frank Zappa).
  • Même quand on est deux on est seul (Janis Joplin).
  • J'essaie d'initier mon épouse au shopping tantra pour qu'elle puisse faire les magasins pendant cinq heures sans rien acheter ! (Sting).
  • On ne peut pas se saouler convenablement en compagnie d'un homme (Björk).
  • Quand ce gars s’est amené, qu’ils ont appelé « Roi de la Pop », ce Presley, c’était une sacrée insulte. Une insulte qui me démolissait. Je pense que c’était un tabou pour les gens d’écouter cette musique quand elle était faite par des Noirs, mais ce type blanc est arrivé et BAM ! vous avez eu le rock’n roll... La vérité doit être dite, qu’elle soit acceptée ou non. Ce fut l’affaire de ma vie et ça l’est encore. C’est une part d’un enjeu, une contribution à ce pays. Nous sommes venus an tant qu’esclaves . Nous n’avons pas demandé à venir ici et nous avons apporté notre contribution en dépit de toutes ces saletés pour nous rabaisser. Nous devons être fier de ce que nous avons fait, mais nous devons savoir ce qu’était ce que nous avons fait. C’est très important pour moi que notre peuple, les jeunes, puisse piger eux-même et sachent comment apporter leur contribution (Horace Tapscott, Revolutionary Worker, mars 1999).
  • Le style « cool » m’a toujours fait penser à la musique des Blancs. Il manquait de tripes et de swing aussi. Les Lee Konitz, Lennie Tristano et autres ne transpiraient pas sur scène. Pourtant le jazz est une musique « triparde », qui exige qu’on se déboutonne. Mais je suppose que ces gars-là voulaient éliminer ce côté nature, « sauvage », excitant, que nous avions. Le jazz, pour moi, c’est ça, une musique dynamique qui fait tout sauter. Ils l’ont assagie, édulcorée, mais sans en changer sa dimension essentielle : la profondeur (Dizzie Gillespie, To Be or Not to Bop, 2009).
  • Miles, lui, n’était pas « cool » de cette manière. Il est originaire de ce coin de Saint Louis qui a vu naître le blues. C’est seulement un aspect de son jeu qui est cool. Et c’est justement cet élément que les autres ont annexé, sans prendre le reste, le côté « blues », ou bien en passant à côté (Dizzie Gillespie, To Be or Not to Bop, 2009).
  • Maintenant, nous pouvons aller en Europe, et passer à la télé, avec les Doors, et faire un beau succès. Mais ceux qui gouvernent ce pays ne veulent pas de ça. Le jazz est toujours dominé par les Noirs. Au début, il y avait le blues et le rythme & blues, puis les Blancs ont mis la main dessus, et ce fut le rock. Le rock n’a pas commencé à Liverpool avec les Beatles. Tous ces cheveux longs et ces trucs sont venus plus tard. Mais ce sont les Blancs qui ont fait du fric avec (Lee Morgan, 1970).
  • Le jazz doit avoir le feeling du swing et du blues. La quête du blues et du swing est éternelle, c’est le défi du jazz, on doit y trouver le blues dans tout ce qui est joué. C’est ma définition du jazz. Par ailleurs, il doit aussi y avoir l’élément de surprise. Sans ces trois éléments, pour moi ce n’est pas du jazz, c’est autre chose - qui peut être une très bonne musique, mais pas du jazz (John Lewis, Modern Jazz Quartet).
  • Quand vous distinguez jazz et blues, vous parlez de deux membres d’une même famille. Chacun a sa personnalité, mais gospel, jazz, blues, soul ont le même père et la même mère. La transmission de l’information se fait par l’intermédiaire des anciens (Arthur Blythe, 1994).
  • Il y a toute une tradition du jazz qui me demeure étrangère : eh oui, je ne sais pas jouer le blues en fa ! Si demain on me propose de me l’apprendre, j’accepte... Mais j’ai tant d’autres choses à faire... (Louis Sclavis, 2000).
  • J’ai toujours eu à l’esprit que je joue une musique inventée en grande partie par des musiciens noirs... Mais je pense également qu’à un certain degré d’authenticité et de spiritualité, n’importe quel genre de musique cesse d’appartenir en propre à une communauté spécifique et devient juste un support à l’expression. J’ai vécu mal une période où, sous la pression essentiellement politique des musiciens noirs, a été instaurée une sorte de compétition entre Blancs et Noirs... Je comprends ce qui les a poussés à agir ainsi, je respecte leurs engagements, mais je ne partage pas cette conception de la musique. Ceci dit, il y a effectivement des différences d’expression liées à la culture entre jazz noir et jazz blanc, spécialement aujourd’hui où j’entends dans la musique noire énormément d’effets expressifs et d’exagération stylistique qui m’apparaissent grossiers, vulgaires, essentiellement dictés par le souci de plaire. Quand j’entends Lester Young, j’entends de la musique pure. Mais déjà lorsque j’entends Cannonball Adderley, je reconnais que c’est un superbe styliste avec une grande technique, mais son idiome, ce recours forcené au blues, me paraît extrêmement artificiel. Pour moi, c’est affecté. C’est juste une attitude. Je joue cinq variations sur le blues dans cette séance : à aucun moment, je ne cherche à les faire sonner « bluesy », avec des blue notes et des tics expressifs spécifiques, tout simplement parce que ça ne m’est pas naturel (Lee Konitz, 2000).
  • Mon rêve est de devenir fermier. Juste un mec bohème qui cuisinerait ses propre patates douces au dîner (Lenny Kravitz).
  • Je ne fais pas de la musique pour les yeux. J'en fais pour les oreilles (Adele).
  • Je veux bien qu'on me maquille et qu'on me coiffe, mais je ne vais pas perdre du poids parce que quelqu'un me dit de le faire. Je fais de la musique pour être une musicienne et pas pour faire la couverture de Playboy (Adele).
  • Je n'écrirai plus jamais d'album de rupture. En fait j'en ai fini avec le fait d'être une sorcière pleine d'amertume (Adele).
  • Je n'ai jamais voulu ressembler à un top model de couverture de magazine. Je représente la majorité des femmes et j'en suis fière (Adele).
  • Je suis très heureuse d'être moi, et j'aime penser que les gens m'apprécient parce que je suis heureuse avec moi-même et non parce que je refuse d'être conforme à quoi que se soit (Adele).
  • Les gens parlent de mon poids mais je ne vais pas changer de taille parce qu'ils n'aiment pas ce à quoi je ressemble (Adele).
  • Le focus sur mon apparence m'a vraiment surprise. J'ai toujours fait une taille 42, 44, je me fous des fringues, je préfère dépenser mon argent dans l'alcool et les clopes (Adele).
  • Mon corps n'a aucun rythme. J'en ai quand je chante mais mes pieds sont comme deux pieds gauches (Adele).
  • Si tu regardes la définition d'authenticité c'est de dire quelque chose et le faire vraiment. J'écris mes propres chansons. J'ai fait mes propres clips. Je choisis mes producteurs. Rien ne sort sans ma permission. C'est authentique (Lana Del Rey).
  • Les gens n'ont pas toujours été là pour moi, mais la musique, si (Taylor Swift).
  • Je pense que toute chanson part d’un sentiment qui a besoin d’être exulté, d’être « exorcisé ». Ça peut partir d’une pensée triste, quelque chose de plus sombre et plus incompréhensible, il y a de la mélancolie partout. Le tout est de la transformer en lumière, en quelque chose de positif. Faire une chanson mélancolique, c’est transformer le plomb en or, quelque chose de malheureux en quelque chose de beau et optimiste (Nach, 2015).
  • Dans l'amour on ne s'applique pas à être bien, non, on aime avec de la douleur, de la joie mais surtout jamais de plat ! Si l'on ne tremble pas du matin jusqu'au soir alors c'est raté ! (Édith Piaf).
  • Je ne veux surtout pas être raisonnable. Je vois des enfants sages partout. Si on fait ce métier de chanteur, c'est pour secouer le bocal (Christophe Miossec).
  • La musique devient un luxe. Les disques se vendent dans des magasins de fringues, parce que ça fait chic (Christophe Miossec).
  • Quand j'écris une chanson d'amour, ce n'est pas en pensant à quelqu'un mais aux phrases que je vais dire (Charles Aznavour).
  • J'ai beaucoup travaillé. Quiconque s'appliquera autant pourra faire ce que je fais (Jean-Sébastien Bach).
  • J'ai dit quelque part qu'il ne suffisait pas d'entendre la musique, mais qu'il fallait encore la voir (Igor Stravinsky).
  • La réalité c'est l'illusion créée par l'absence de drogues (Richard Desjardins).
  • Mozart était très précoce : à 8 ans et demi, il avait déjà composé le Boléro de Ravel (Pierre Desproges, L’indispensable encyclopédie de Monsieur Cyclopède, 2004).





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